Avec la récente embellie du secteur immobilier en France, l’ancien était assez délaissé et les acquéreurs jetaient leur dévolu dans le neuf. C’est maintenant une situation qui s’inverse de plus en plus avec une reprise vigoureuse qui a été enclenchée depuis 2015. On est en fin 2016 et le prix de l’immobilier connaît une légère augmentation. Cependant, les achats dans l’ancien sont toujours aussi stables. Ce qui renseigne largement sur la bonne santé du secteur.
Une reprise de plus de 16 %
Les transactions dans le secteur de l’immobilier ancien ont repris depuis 2015. Entre temps, une nette évolution a été constatée avec une augmentation de 16% des transactions. Ceci est sans nul doute un signe de vigueur retrouvée sur le marché. En effet, les acheteurs se sont réveillés dès le printemps dernier et restent actifs depuis. À noter que cette tendance devrait se prolonger jusqu’en 2016, car on constate surtout que les candidats à l’achat qui sont parvenus à mûrir leur projet sont plus nombreux. Ils sont 20% plus nombreux en 2016 par rapport à l’année précédente selon une étude réalisée par Century 21.
De plus, quelques mesures émanant du gouvernement ont été prises et devraient sans doute encourager l’optimisme selon un courtier chez http://sygalis.com. Par exemple, on a l’entrée en vigueur du nouveau prêt à taux zéro. Ce sont des mesures qui vont sans doute favoriser encore plus les initiatives d’emprunt dans le but d’acheter dans l’ancien. De plus, les banques accordent ces taux à une clientèle élargie.
Les taux se stabilisent
Depuis quelque temps, un certain équilibre est observé entre l’offre et la demande. En effet, les vendeurs se sont montrés très raisonnables en revoyant leurs prétentions à la baisse. On a ainsi un recul de 0.6% des prix en 2016. De plus, même si les acheteurs prennent du temps, le délai pour réaliser un projet dans l’ancien n’excède pas les 95 jours. À noter que ce recul des prix concerne la plupart des grandes villes Françaises.
Le crédit reste toujours aussi accessible
Avec une moyenne de 2.2% sur 20 ans, le crédit reste toujours aussi accessible. De plus, le pouvoir d’achat immobilier n’a jamais été aussi élevé avec la combinaison d’une baisse cumulée depuis le pic de 2011. Du coup, pour acquérir un bien dont la valeur est estimée à 200.000 euros avec une mensualité de 1000 euros sur 20 ans, il faudra fournir un apport d’environ 37.000 euros. Cet apport était de 45.000 euros en 2008.